Bonjour Emmanuelle, est-ce qu’on peut en savoir un peu plus sur toi ?
Bonjour, je m’appelle Emmanuelle et je travaille chez Ma petite couche depuis 2 ans.
Je suis sensible à la cause écologique, et notamment, zéro déchet depuis quelques années. Je suis par ailleurs co-fondatrice de l’association Un Quotidien Plus Vert à Issy-les-Moulineaux, dont le but est de faire connaître la thématique zéro déchet. On donne des conseils, des astuces et des informations aux particuliers.
Pourquoi faire partie de Ma petite couche ?
J’ai rencontré Antoine, co-fondateur de Ma petite couche, dans un lieu collaboratif dédié au zéro déchet. Son idée m’a séduite et me voilà embarquée dans l’aventure. Ma petite couche me permet de travailler en accord avec mes valeurs écologiques. En effet, je ne me retrouvais plus vraiment dans mon précédent métier dans les assurances, qui ne correspondait pas à mes convictions. Si l’activité de Ma petite couche n’est pas la plus glamour, je suis ravie de me lever chaque matin pour y travailler, car j’ai l’impression de faire ma part.
Quelles valeurs prônes-tu ?
Le respect de l’environnement et de la biodiversité est essentiel dans ma vision de la vie. L’entraide, la solidarité, le partage, le service à la personne en fait, sont également primordiaux pour moi, ou comme j’aime le dire « Vade Retro » à l’égoïsme. (rires)
Je me sens plus sereine depuis que je travaille chez Ma petite couche, qui au-delà de la convergence de nos valeurs, est un environnement humain, bienveillant et basé sur l’échange.
Mais en fait, que fais-tu chez Ma petite couche ?
Un peu de tout. (rires)
Je m’occupe de la logistique de la location des couches. J’alterne entre la préparation et le retour des commandes, ainsi que le suivi des clients. J’aime le contact avec nos familles, où tout est fait dans un esprit de bienveillance.
Quel est ton moment préféré chez Ma petite couche ?
Quand je mets les mains dans le sac de couches retournées. (rires)
Plus sérieusement, je pense que je n’ai pas un seul moment préféré chez Ma petite couche. J’aime les temps où l’on parle librement, le matin avant de commencer à travailler, ou autour d’un café quand chacun laisse libre court à ses idées. J’aime aussi les rushs des commandes, où tout le monde met la main à la pâte. J’apprécie beaucoup cet esprit d’entraide. Le lieu des Cinq Toits est également très agréable, bien différent de La Défense que j’ai pendant de (trop) longues années connue. Si une certaine routine fait partie du métier, chaque jour reste différent !
En trois mots clés, que dirais-tu à des futurs parents encore hésitants ou sceptiques ?
Protection
Je suis soulagée de me dire que grâce à nos couches, des milliers de bébés ont évité toutes sortes de produits chimiques nocifs et ont pu profiter du petit cocon protecteur qu’est la couche lavable.
Alternatif
Si c’est un changement de rythme et d’organisation certain, tout comme un coup de main à prendre, une fois le processus intégré, il n’est plus contraignant et en devient simple.
Le principe peut être rebutant, voire archaïque, mais laver ses couches n’est pas un retour en arrière. Entre les textiles, les matières et les procédés on est bien loin de la réalité de nos grands-mères il y a 70 ans, et heureusement. Je trouve que c’est aussi revenir à l’essentiel, à une autre façon de consommer, plus consciente et réfléchie, qui se trouve être plus satisfaisante.
Économique
Quand je pense que j’étais persuadée de bien faire en achetant les couches de qualité supérieure d’une des marques les plus connues de couches jetables, alors qu’elles étaient en fait ultra chargées de produits nocifs et assez chères, je m’en mords rétrospectivement les doigts (rires). L’argument économique est vraiment très intéressant, encore plus si on a plusieurs enfants. Et je sais que j’aurais aimé me dire qu’en adhérant aux services de Ma Petite Couche, je contribuais à la pérennité d’une jeune entreprise, transparente et partisane du zéro-déchet.
Un petit mot pour la fin ?
Soyez culottés !